Deuxième mandat de dépôt contre Hattab Ben Othmen

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Deuxième mandat

Deuxième mandat 

Le juge d’instruction du Tribunal de première instance de Monastir a délivré une assignation à comparaître contre le chef du Syndicat national des agents et administrateurs de justice Hattab Ben Othman, tandis que deux autres membres du syndicat ont été relaxés.

Le porte-parole des tribunaux de Monastir et de Mahdia, Farid Ben Jha, a expliqué dans un communiqué obtenu par Mosaïque FM, que les faits remontent à 2021, lorsqu’une des entreprises s’est installée à Ksar Helal. Il a porté plainte contre quelqu’un qui les a appelés pour demander de l’argent pour aider le syndicat à organiser une conférence. Cette personne s’est présentée comme étant Hattab Ben Othman, qui occupe le poste de juge à la place financière de Monastir, ce qui a conduit à l’ouverture d’une enquête.

Cette personne qui a usurpé l’identité d’Hattab bin Othman a été identifiée comme travaillant pour une société de conseil qui a conclu un contrat avec le Syndicat de la justice. La personne qui est venue récupérer l’argent a été arrêtée et détenue pendant un an. L’examen des comptes financiers et du compte du Syndicat de justice a révélé qu’elle disposait d’un solde de 700 000 dinars, dont 96% ont été retirés au profit de la société de conseil, alors même qu’elle travaille comme marchande adjointe au syndicat.

Des rapports d’experts ont prouvé que la plupart des transactions financières étaient frauduleuses et que de nombreuses personnes ont été trompées.

Bin Jha a ajouté que de nouvelles enquêtes ont récemment révélé qu’un autre compte du Syndicat de la justice contient huit millions de dinars, qui, selon les premiers éléments des enquêtes, proviennent de commissions et de transactions immobilières. Les premières investigations ont révélé que les membres fondateurs avaient été impliqués dans des transactions immobilières en tant qu’intermédiaires.

Ainsi, une enquête a été ouverte contre Hattab bin Othman, pour abus de pouvoir et gestion illégale de biens ainsi que pour acceptation de dons et aides financières d’origine inconnue ou provenant d’activités illégales, et liquidités égales ou supérieures à 500 dinars et argent. blanchisserie.