Brahim Bouderbala : l’opposition pour l’opposition est refusée !

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Brahim Bouderbala

Brahim Bouderbala

Mercredi 1er mars 2023, l’avocat et futur député Ibrahim Bouderbala est revenu sur le nouveau parlement et son rôle.

Nation. Cela n’empêche pas les avis divergents et que chaque élu soit libre selon ses pensées et ses inclinations. Pour lui, il est impossible d’avoir une idée unificatrice. Ainsi, l’adoption des lois se fait selon des moyens démocratiques.

M. Bouderbala a rappelé que la majorité des élus sont indépendants et a souligné : « Nous n’aurons pas honte de voter sur un projet de loi qui sert l’intérêt de la nation et l’intérêt public, et nous n’aurons pas honte de revoir le libellé de n’importe quel projet de loi s’il y a violation des intérêts de l’État ou s’il ne répond pas aux réformes économiques, sociales et politiques, et il doit La version finale est approuvée par les élus.

Et un marteau: “L’opposition de l’opposition est rejetée, et le soutien du soutien est également rejeté, et nous remplirons notre rôle national conformément à ce qui est dicté par l’intérêt suprême du pays et du peuple.”

Ibrahim Bouderbala avait affirmé la veille que le Parlement est maître de lui-même et que ce sont les élus qui décideront de son niveau d’organisation et de fonctionnement. Outre l’organisation interne de l’Assemblée, les élus devront étudier des projets de loi. Ibrahim Bouderbala a souligné que les députés feront tout ce qui est en leur pouvoir pour accélérer la mise en place du Conseil National des Régions et Districts.

De plus, il a déclaré : « Il est encore trop tôt pour parler de bloc parlementaire… On ne sait pas encore comment fonctionnera le prochain parlement… Il y aura d’abord l’élaboration d’un règlement intérieur… Il décidera dessus.” Les blocs de questions, l’existence des commissions et les relations entre les députés et les médias. Une commission qui sera chargée de rédiger ce document.

L’élu a également estimé que l’enjeu de la nomination du président de la République, Kais Saied, aux prochaines élections n’était pas encore d’actualité, et qu’il était encore trop tôt pour se poser ce type de question. Cependant, il a évoqué les résultats des récents sondages et la poursuite du processus entamé depuis le 25 juillet 2021. Il a conclu que le président devrait rester à la tête de l’État en se présentant à la présidence en 2024.

L’avocat a également estimé que la presse est libre depuis le 25 juillet 2021, et que les opposants à ce procédé s’expriment librement dans les médias. Les arrestations, selon lui, sont justifiées et résultent d’actes illégaux commis par leurs auteurs. Il a dit que même ceux qui ont attaqué le chef de l’État jouissaient encore de leur liberté. Il a demandé à l’avocat, se référant au décret n° 54, de s’abstenir de propos diffamatoires, de le critiquer et d’exprimer son opinion de manière respectueuse.