Mercredi, un verdict a été rendu par le tribunal tunisien condamnant à mort quatre personnes et infligeant la prison à perpétuité à d’autres accusés pour l’assassinat du politicien tunisien Chokri Belaïd il y a 11 ans. Cet incident est considéré comme le premier assassinat politique dans le pays depuis des décennies.
Chokri Belaïd a été assassiné le 6 février 2013 devant sa maison à Ariana, dans la capitale tunisienne, par quatre balles. Son assassinat a créé un choc sur la scène politique tunisienne et a conduit à la démission du Premier ministre Hamadi Jebali.
Belaïd, qui était un politicien de gauche, était l’un des critiques les plus virulents du parti islamiste Ennahda, l’accusant de fermer les yeux sur la violence perpétrée par les extrémistes contre les laïcs. Il a été abattu dans sa voiture par des hommes armés.
Des groupes salafistes extrémistes, en particulier l’organisation “Ansar al-Charia”, ont été accusés d’être impliqués dans son assassinat, mais l’organisation a nié les accusations et affirmé son innocence dans le meurtre de Belaïd, accusant plutôt les restes de l’appareil de sécurité politique sous la direction de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali de comploter pour semer le chaos et la tension afin d’éviter les poursuites et de dissimuler des dossiers sensibles.
Le gouvernement tunisien a annoncé le 24 juillet 2013 que les autorités de sécurité compétentes avaient réussi à identifier les personnes impliquées dans l’assassinat de Chokri Belaïd, et a confirmé le 4 août 2013 qu’un des suspects avait été arrêté dans la ville de Hammam Sousse.
L’avocat Abdel-Nasser Al-Awini, membre de l’équipe de défense de Belaïd, a déclaré avoir reçu des menaces de mort contre Chokri Belaïd quelques jours avant l’assassinat, mais que les responsables de la sécurité de l’époque, dirigés par Ali Larayedh, alors ministre de l’Intérieur, n’ont pas pris l’affaire au sérieux.
Al-Awini a souligné que l’équipe de défense de Belaïd avait lutté pendant 11 ans contre les régimes qui ne voulaient pas révéler la vérité, et a confirmé qu’ils avaient examiné les dossiers des suspects et leurs affiliations politiques. Lorsque le verdict a été rendu mercredi, le tribunal tunisien a condamné à mort quatre personnes et a prononcé la réclusion à perpétuité contre d’autres accusés pour l’assassinat de Chokri Belaïd. Cette décision est considérée comme une réalisation dans l’affaire de l’assassinat de Belaïd, qui s’est produite il y a 11 ans. L’assassinat de Chokri Belaïd est considéré comme le premier assassinat politique en Tunisie depuis longtemps.
Les détails de l’incident remontent au 6 février 2013, lorsque Chokri Belaïd a été victime d’une fusillade devant sa maison dans le gouvernorat d’Ariana, dans la capitale tunisienne. Son assassinat a provoqué une grande secousse sur la scène politique tunisienne et a conduit à la démission du Premier ministre Hamadi Jebali.
Chokri Belaïd, qui était affilié au courant de gauche, était un critique majeur du parti islamiste Ennahda et a accusé le parti de fermer les yeux sur la violence perpétrée par les extrémistes contre les civils laïques. Il a été sauvagement assassiné dans sa voiture par des hommes armés.
Des groupes salafistes extrémistes, y compris l’organisation “Ansar al-Charia”, ont été accusés d’être impliqués dans son assassinat. Cependant, l’organisation a vigoureusement nié ces accusations et a affirmé son innocence dans le meurtre de Belaïd. Elle a plutôt accusé les restes de l’appareil de sécurité politique qui était sous la supervision de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali, les accusant de comploter pour semer le chaos et la tension afin de détourner l’attention des poursuites et de dissimuler des dossiers sensibles.
Le gouvernement tunisien a annoncé le 24 juillet 2013 que les autorités de sécurité compétentes avaient réussi à identifier les personnes impliquées dans l’assassinat de Chokri Belaïd. Le 4 août 2013, il a été confirmé qu’un des suspects avait été arrêté dans la ville de Hammam Sousse.
L’équipe de défense de Belaïd, dirigée par l’avocat Abdel-Nasser Al-Awini, a déclaré avoir reçu des menaces de mort contre Chokri Belaïd quelques jours avant son assassinat. Cependant, les responsables de la sécurité de l’époque, dirigés par Ali Larayedh, alors ministre de l’Intérieur, n’ont pas pris ces menaces au sérieux.
Après 11 ans de lutte pour révéler la vérité, l’équipe de défense de Belaïd a examiné les dossiers des suspects et leurs affiliations politiques. Le verdict rendu mercredi a condamné à mort quatre personnes et prononcé la réclusion à perpétuité contre d’autres accusés pour l’assassinat de Chokri Belaïd. Cette décision est considérée comme une avancée dans l’affaire de l’assassinat de Belaïd, qui s’est produit il y a 11 ans. Il s’agit du premier assassinat politique en Tunisie depuis longtemps.
Il convient de noter que les événements mentionnés ici se sont produits jusqu’à la date de mon dernier entraînement en septembre 2021. Les développements ultérieurs pourraient ne pas être inclus dans ma réponse.