Plusieurs organisations, associations, partis politiques et personnalités nationales, à la suite d’une série de rafles, d’arrestations et de procès impliquant des journalistes, des syndicalistes et des opposants, ont publié un communiqué affirmant que cette démarche constitue une dérive dangereuse vers la tyrannie et la rationalité. tyrannie.
Les signataires soulignent qu’il s’agit d’une sorte de répression visant à faire taire toute voix susceptible d’entraver l’hégémonie du pouvoir actuel sur l’appareil d’État.
D’autre part, ils considèrent que le fait que les récentes arrestations aient été liées à des juges impliqués dans des assassinats politiques a créé une certaine confusion et fait partie d’une stratégie de communication politique populiste visant à dissimuler l’échec du Hezbollah. Le processus présidentiel et sa récession.
Les signataires soulignent que les conditions objectives d’un procès équitable ont été détruites dans le contexte actuel, notamment, avec la pression exercée par le pouvoir exécutif sur les juges en vertu de la nouvelle constitution qui a conduit à la marginalisation de la justice.
En conséquence, ils considèrent que les jugements doivent être rendus dans le cadre d’une justice indépendante et libre, et ils renouvellent leur appel à toutes les forces nationales pour unifier les rangs.
Parmi les signataires : la Coalition Al-Samoud, l’Observatoire national pour la défense de la civilisation d’État, l’Alliance Mutlazomon, le Parti socialiste, Al-Masar, Youssef Al-Siddiq, Kamel Al-Jandoubi, Hammadi bin Jaballah, Ahmed Sawab, Bushra Belhaj Hamida, Muhammad. Al-Kilani, Junaidi Abdel-Gawad…