Noureddine Taboubi, secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail, a souligné, mercredi, la nécessité de tenir une réunion lundi prochain avec le gouvernement pour comprendre ses orientations et sa détermination à mettre en œuvre ou non les accords précédemment conclus avec l’organisation syndicale. .
S’exprimant lors de l’ouverture des travaux de l’organe administratif de l’Union générale tunisienne du travail à Hammamet, Tabboubi a indiqué que la réunion portera sur les moyens de répondre aux revendications sociales dans ce contexte économique difficile que connaît le pays.
Taboubi a, par ailleurs, signalé que les négociations devraient reprendre au cours de cette semaine avec l’Union tunisienne de l’industrie du commerce et de l’artisanat (UTICA) pour discuter les majorations salariales dans certainsé en secteurs de l’artistes ‘ une entreprise.
Et concernant l’agression brutale de l’enseignant à l’intérieur de l’établissement scolaire par son élève, Al-Taboubi a indiqué qu’il avait demandé au chef de l’Etat de promulguer un décret de loi criminalisant l’agression des enseignants et des médecins.
Par ailleurs, dans une déclaration à l’Agence de presse tunisienne, le porte-parole officiel de l’organisation syndicale, Sami Taheri, a confirmé que la commission administrative de l’Union générale tunisienne du travail étudiera la situation générale du pays, notamment au niveau politique et économique. niveaux.
Selon Al-Tahri, la détérioration de la situation économique a affecté le statut social et le pouvoir d’achat des consommateurs, soulignant que l’organisation n’acceptera en aucun cas de dumping le citoyen avec des frais supplémentaires tels que des prix élevés des produits. augmenter les indemnités.
Le responsable syndical a déclaré que les réformes demandées par le Fonds monétaire international ne pouvaient pas être mises en œuvre par le gouvernement d’urgence.