Derniers tests avant révélation
Elle sera dévoilée ensuite, mais la nouvelle Peugeot 408, encore recouverte d’un camouflage qui masque les détails, subit encore les pires épreuves en vue de sa mise en production à l’automne. Si un véhicule est inattendu, son programme de vérification suit un protocole très rigoureux, comprenant des tests sur les routes et les pistes, ainsi qu’en laboratoire et sur des sièges désignés. L’objectif : une qualité et une excellence sans compromis dès les premières unités produites.
Pour atteindre l’excellence, en termes de performances et de qualité, le développement d’un nouveau véhicule nécessite de nombreux tests et essais de toutes sortes. Tout d’abord, de nombreuses simulations sont réalisées à l’aide de programmes informatiques très avancés, qui accélèrent le développement avec une utilisation maximale des ressources. Puis, il y a un peu plus d’un an, le schéma de vérification interne (PIV) a été lancé, qui consiste en une batterie de nombreux tests qui n’excluent aucune pièce ou unité du véhicule.
Pour ce faire, les équipes chargées de la validation ont reçu les premiers exemplaires hautement camouflés de la nouvelle 408 : sous un film adhésif, des éléments en plastique et en mousse ont été ajoutés sous un film adhésif dont les dessins assombrissent la perception des lignes et des volumes, ce qui finalement conduit à une curieuse tromperie.
Avec ces voitures d’essai, la nouvelle Peugeot 408 a déjà parcouru près de 1 100 000 kilomètres dans toutes les conditions possibles, sur tous les côtés des routes et sous de nombreux climats. Tout est testé, retesté, vérifié et évalué, en utilisant des routes goudronnées et pavées, du gravier et en conduisant par temps chaud et froid, de jour comme de nuit. Chaque kilomètre parcouru dans ces conditions extrêmes équivaut à plusieurs dizaines de kilomètres pour l’utilisateur moyen.