L’AMT
Le Bureau Exécutif de l’Association des Magistrats Tunisiens (AMT) a publié un communiqué en réponse au Ministère de la Justice concernant la visite du Président Honoraire de l’Union Internationale des Magistrats (UIM), Christoph Reignard.
La Fédération des syndicats tient à ce que l’Union des tribunaux islamiques soit une organisation internationale regroupant des associations judiciaires de 94 pays, soulignant qu’elle représente ce syndicat en Tunisie depuis qu’elle en est membre depuis 1961.
Le même communiqué précise que les associations membres de l’UMI envoient des demandes de rendez-vous aux partis officiels lors des visites de délégation. La Confédération des syndicats ajoute qu’elle a mené cette action en coopération avec la Fédération internationale des migrations dès que son président d’honneur a été invité à effectuer une visite en Tunisie. Elle souligne que les demandes de rencontres ont été transmises à la présidence de la République, la présidence du gouvernement, le ministère de la Justice et le conseil supérieur provisoire de la magistrature, notant qu’un desé la visite préstére avasé mini Foreign Affairs.
Le Syndicat des journalistes tunisiens s’est dit surpris que le ministère de la justice n’ait pas été au courant des procédures judiciaires liées à la Fédération internationale de l’Alliance, notant la position négative du ministère, qui n’a pas été rattrapé afin de préserver l’image de la Tunisie.
Le ministère de la Justice a publié un communiqué, jeudi 7 juillet 2022, pour expliquer l’information selon laquelle les institutions étatiques n’ont pas répondu à une demande de rencontre du président d’honneur de la Fédération internationale des magistrats. Le ministère a déclaré qu’il n’avait reçu aucune demande de réunion officielle ou avis de visite.
Le ministère a précisé que les réunions officielles avec des représentants d’entités et d’organismes étrangers se déroulent selon des procédures et des formules bien définies qui respectent les traditions diplomatiques (ministère des Affaires étrangères) et par l’intermédiaire du service compétent (service de la coopération internationale).