A l’occasion de l’ouverture du bureau de l’Union générale tunisienne du travail à Douz le jeudi 17 mars 2022, le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail, Noureddine Taboubi, a prononcé une allocution dans laquelle il a prononcé un discours devant le président de la République, lui demandant d’exprimer sa position concernant le retrait des subventions demandées par le Fonds monétaire international.
Pour Noureddine Taboubi, « Les jours qui viennent seront difficiles tant qu’aucun effort n’est fait pour anticiper cela, tout le monde fuit ses responsabilités.
Dans son intervention, le dirigeant syndical, a expliqué que ce sont les partis qui font la politique d’un pays, tout en déplorant le fait que l’actuel pouvoir en place, oeuvre pour créer une opposition et un pouvoir politique « do politique – Peser “.
Noureddine Taboubi a insisté sur le fait que “nous ne resterons pas les bras croisés”, ajoutant qu’il est incompréhensible de retirer le soutien à des citoyens qui gagnent 400 dinars de salaire moyen en Tunisie.
M. Taboubi a finalement demandé à l’autorité de faire son autocritique. “Vous devez vous réveiller de ce coma”, a-t-il dit. Il ajoute : « Les tensions politiques sont profondes, et c’est le citoyen qui en paie le prix.